• Le chanoine Tonnelier

    En 1971, Le chanoine Tonnelier déchiffra les inscriptions latines qui se trouvaient dans le cachot de la Tour du Prisonnier.

    D'après ses travaux, les cartouches sont ainsi élucidés et l'identité de l'auteur et de son épouse connue

    grâce à la phrase :"O Mater dei, memento mei sponsa mea".

    Il s'agirait donc d'Elie de Beuamont cité neuf fois et de Catherine de Basian, citée quarante-cinq fois accompagnés quatre fois de l'année 1561. quant au décor exotique, il signifiait la fugue des jeunes époux en Amérique, pour tenter d'échapper au refus d'une telle union par les parents de la jeune fille. la mort de cette dernière, enfermée dans un couvent, et l'incarcération du jeune époux, accusé de rapt, avaient apporté leur note tragique à une idylle romanesque mais authentique...

    ce passage est rapporté par Jean-Paul besse dans son ouvrage "Gisors dans l'Histoire" aux éditions L'age d'Homme en 1998 page 75


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